The free energy principle (FEP) portends to provide a unifying principle for the biological and cognitive sciences. It states that for a system to maintain non-equilibrium steady-state with its environment it must minimise its (information-theoretic) free energy. Under the FEP, to minimise free energy is equivalent to engaging in approximate Bayesian inference. According to the FEP, therefore, inference is at the explanatory base of biology and cognition. In this paper, we discuss a specific challenge to this inferential formulation of adaptive (...) self-organisation. We call it the universal ethology challenge: it states that the FEP cannot unify biology and cognition, for life itself (or adaptive self-organisation) does not require inferential routines to select adaptive solutions to environmental pressures (as mandated by the FEP). We show that it is possible to overcome the universal ethology challenge by providing a cautious and exploratory treatment of inference under the FEP. We conclude that there are good reasons for thinking that the FEP can unify biology and cognition under the notion of approximate Bayesian inference, even if further challenges must be addressed to properly draw such a conclusion. (shrink)

The free energy principle is sometimes put forward as accounting for biological self-organization and cognition. It states that for a system to maintain non-equilibrium steady-state with its environment it can be described as minimising its free energy. It is said to be entirely scale-free, applying to anything from particles to organisms, and interactive machines, spanning from the abiotic to the biotic. Because the FEP is so general in its application, one might wonder whether this framework can capture anything specific to (...) biology. We take steps to correct for this here. We first explicate the worry, taking pebbles as examples of an abiotic system, and then discuss to what extent the FEP can distinguish its dynamics from an organism’s. We articulate the notion of ‘autonomy as precarious operational closure’ from the enactive literature, and investigate how it can be unpacked within the FEP. This enables the FEP to delineate between the abiotic and the biotic; avoiding the pebble worry that keeps it out of touch with the living systems we encounter in the world. (shrink)

Philosophical interpretation of selected texts from Vedas, Hindu canonical texts.

Two Sanskrit texts focus new light on Prabhakara and Kumarila thoughts on Purva Mimamsa philosophy.

Esta obra se abre con una introducción histórica, no heleno ni eurocéntrica, en la que se reinterpretan los sistemas éticos en la historia mundial, hasta situar la problemática en la Modernidad dentro del sistema-mundo como proceso de globalización que simultáneamente excluye a la mayoría de la humanidad. En la primera parte se aborda una crítica a las morales formales (Kant, Rawls, Apel, Habermas) desde un principio material o de contenido con pretensión de universalidad; el deber de producir, reproducir y desarrollar (...) la vida humana en comunidad. El principio de factibilidad ética, por su parte, permite que el cumplimiento del acto, institución o sistema de eticidad pueda tener la pretensión de bondad. En la segunda parte, desde la imposibilidad de que dicho acto, institución o sistema de eticidad «buenos» pueda tener pretensión de perfección acabada, se descubren los que «sufren» en su corporalidad vulnerable la imposibilidad de vivir, el hecho de ser excluidos. Se trata de las víctimas, al decir de Marx, Horkheimer, Benjamin, Nietzsche, Freud o Lévinas. Desde las víctimas comienza propiamente el discurso de la Ética de la Liberación, en su nivel negativo material (deben poder vivir), en el principio discursivo crítico (deben poder participar en la argumentación), todo lo cual culmina en el principio crítico negativo de la factibilidad: el principio-liberación que inspira las transformaciones con pretensión de justicia. (shrink)

Ce livre propose d'aborder la pensée de Charles Taylor par ce qu'il reconnaît être son centre de cohérence : "l'horizon moral de signification". D'entrée de jeu, il situe assez clairement Taylor dans le vaste horizon de la philosophie morale contemporaine. Le texte pose bien l'originalité de la conception taylorienne de l'ontologie ; ses idées d'incarnations, d'engagement et la relation incontournable du moi. Sans complaisance, il montre le rôle central que joue cet horizon dans la philosophie morale taylorienne tout en exposant (...) les zones d'ombre où Taylor est moins clair ou moins explicite dans sa pensée. En illustrant clairement le lien entre l'horizon moral et l'identité d'une part, et celui entre les horizons et le dialogue interculturel d'autre part, le livre enrichit les analyses existantes sur le sujet. Il expose le dilemme taylorien entre contexte et universalisme. L'originalité de Taylor réside dans la manière dont il repose ce dilemme conservant en tension ces deux axes; orienter sa vie en fonction du bien nous oblige à naviguer entre deux eaux. La question du dialogue interculturel est naturellement incontournable dans le présent débat avec Taylor. Les considérations sur le "langage des contrastes" et le passage par les écrits de Raoul Fornet-Betancourt sont tout à fait pertinents. En effet, l'interculturalité ou le dialogue interculturel appelle un nouveau langage, mais les conditions de celui-ci? et son statut ontologique d'ailleurs ne sont pas clairement exprimées dans les écrits tayloriens. Et ils peuvent difficilement l'être, car cela demeure pour lui de l'ordre du mystère et du dévoilement. L'ouverture à l'autre et à l'altérité est un chemin qui mène à plusieurs inconnus et appelle ce que Taylor nomme une transformation."--Page 4 of cover. (shrink)

Nul n'est plus fuyant que le mauvais goût. Qu'il soit relatif, ancré dans son temps, frontière sociale ou revendiqué tel une profession de foi artistique. Dans ce Dictionnaire amoureux intime et partial, Nicolas d'Estienne d'Orves vous invite dans son grenier braillard et cocasse. 'Le mauvais goût échappe à toute définition, famille ou clan. Tout comme le bon goût, il est relatif, circonstanciel, ancré dans son temps. Il peut également être une frontière sociale, un racisme de classe. En ce cas, le (...) mauvais goût c'est celui de l'autre, celui qu'on n'a pas et qu'on se défend d'avoir au risque de trahir les siens. Enfin il y a le mauvais goût patenté, revendiqué, qui n'est pas une attitude, une mode, mais une profession de foi artistique, un manifeste esthétique. C'est -sans doute- ce qu'on pourrait appeler le kitsch. C'est-à-dire un style en soi, des formes volontaires, pensées, destinées à déranger la norme. Ce livre sera donc, par essence, partial. Avec le mauvais goût, j'entre dans une zone marécageuse. Est-il possible de faire un livre plus intime, plus narcissique, puisqu'il explore la part d'ombre de ma propre sensibilité? Petit enfant sous Giscard, adolescent sous Mitterrand, j'ai pris racine dans des époques aux esthétiques très contrastées qui seront forcément présentes dans ces pages. Souvenirs intimes, émissions de télévision, films, livres, plats, commerces, personnages imaginaires ou pas, attitudes de tous poils, mon mauvais goût est une auberge qui n'a rien d'espagnole mais tout d'un grenier. Un grenier braillard et cocasse, que j'ai moi-même tenté de ranger pour les besoins de la cause. Le mauvais goût ne se partage pas, en ce qu'il est une exploration de nos propres frontières esthétiques, la ligne de crête entre ce que l'on goûte et ce que l'on recrache. Bienvenue dans mon train fantôme!'"--Page 4 of cover. (shrink)

1. cahier. Logique et mathématique: Thèmes unitaires et crise de l'unité dans la mathématique, par G. Bouligand. Les techniques logiques et l'unite des mathématiques, par D. Dubarle. Chronique de logique, par F. Russo. Physique: Le renouvellement des idées en physique par les théories quantiques et relativistes, par O. Costa de Beauregard. A la recherche d'une physique cohérente, par F. Russo. Sciences de l'homme et de la vie: La paléontologie, par H. Alimen. La biologie et l'homme nouveau, par R. Collin. Précisions (...) sur la notion d'évolution, par R. Lavocat. Pensée religieuse et esprit scientifique, par A.-M. Dubarle. (shrink)

In diesem Band deckt Diego D'Angelo semiotische Strukturen in der Husserl’schen Phänomenologie der Wahrnehmung auf. Ist es der Phänomenologie darum zu tun, die Erfahrung von Dingen in unserer Umwelt zu beschreiben, so ist dabei der Begriff des Horizontes von zentraler Bedeutung: Was wir unmittelbar wahrnehmen, verweist immer schon auf anderes, was nur „mitgegeben“ ist. Wenn wir Dinge wahrnehmen, haben wir nur eine bestimmte Perspektive, d.h. wir sehen lediglich einen Aspekt. Aber wir nehmen immer ganze Gegenstände wahr (wir sehen Tische und (...) Stühle und andere Menschen). Jeder dieser Gegenstände erscheint in einem Feld weiterer Gegenstände, und es ist der Horizontbegriff, der es erlaubt, das Verhältnis zwischen Selbstgegebenheit und Mitgegebenheit zu explizieren. Dieses Buch stellt den ersten detaillierten Versuch dar, die Ursprünge solcher horizontaler Felder in semiotischen Strukturen zu suchen. Aus der Verbindung zwischen Husserls eigener Semiotik und seiner Phänomenologie der Wahrnehmung ergibt sich, dass das wahrgenommene Phänomen als Zeichen verstanden werden muss. Das Zeichen wiederum bezeichnet etwas, was in leiblicher Bewegung eingeholt werden kann. Mit der Verbindung von Leiblichkeit, Semiotik und Wahrnehmung thematisiert diese Monographie das Verhältnis zwischen folgenden phänomenologischen Forschungsgebieten: • Husserls Semiotik der Wahrnehmung in den Logischen Untersuchungen • Phänomenologische Raumanalyse – kinästhetische Indikation • Horizont und Noema • Passive Anzeige • Zeichen und Leiblichkeit als Grundlagen der Fremderfahrung • Genetische Phänomenologie und Semiotik der Erfahrung • Protentionen und teleologische Semiose • Induktion und Ursprung des menschlichen Ichs Das Buch eröffnet die Möglichkeit, Husserls Phänomenologie jenseits einer Metaphysik der Präsenz zu verstehen. Zudem leisten D'Angelos Einzeluntersuchungen einen Beitrag zu aktuellen Diskussionen in der Philosophie der leiblichen Kognition. – Eine hilfreiche Leseempfehlung für • Interessierte Themenneulinge • Bachelor- und Masterstudenten der Geisteswissenschaften • Hochschulabsolventen sowie Forschungswissenschaftler. (shrink)

This paper examines narrativism’s claim that the historical past cannot be known once and for all because it must be continuously re-described from the standpoint of the present. We argue that this claim is based on a non sequitur. We take narrativism’s claim that the past must be re-described continuously from the perspective of the present to be the result of the following train of thought: 1) “all knowledge is conceptually mediated”; 2) “the conceptual framework through which knowledge of reality (...) is mediated changes with every new generation of historians”; therefore (narrativism’s claim) “the historical past changes with every new generation of historians”. The idea of an unchanging past, for the narrativist, requires denying premise 1 (all knowledge is conceptually mediated”) and therefore rests on a problematic commitment to the chimerical notion of the past as it is in-itself, wie es eigentlich gewesen. We argue that the narrativist’s conclusion does not follow unless one adds a further premise, namely 3) “it is not possible to view reality through the categorial framework of historical agents”. If one asserts the possibility of grasping reality through the categorial framework of others, be they contemporary or past agents (as much philosophy of history written in an idealist key does), then one no longer has to accept the narrativist’s inference that since the past cannot be known in-itself or independently of conceptual mediation, then it cannot be known as it always was for the historical agents. Narrativism’s inference that the past cannot be known as it always was does not follow from premises 1 and 2 unless one smuggles in another problematic premise, premise 3. In this paper we defend the claim that the past can be known as it always was (not as it is in-itself) by invoking a different conception of the role of conceptual mediation in historical knowledge, one which assumes the possibility of viewing reality through the categorial framework of others. This notion of the role of conceptual mediation in historical knowledge is prevalent in the idealist tradition but, in the interest of brevity, we will defend this notion of mediacy by specific reference to the idealist philosophy of R.G. Collingwood. (shrink)